Dans l’Islam, la mort est un retour vers Allah. La façon d’enterer le corps doit respecter les règles du Coran. Une qst revient souvent : est-ce que les cercueils sont haram ? Certains disent oui. D’autres disent non. Cet article montre les deux avis.

La tradition musulmane

Le Prophète (sws) a été enterré dans un linceul simple. Pas de cercueil. Ce modèl est encore suivit dans bcp de pays. Les savants sunnites disent que la terre doit toucher le corps. Cela aide le retour à Allah. Pour eux, les cercueils ne sont pas necéssaires.

Quand les cercueils sont permis

Mais, ds certains pays, la loi oblige l’usage d’un cercueil. Comme en France ou au Canada. Le mufti Ahmed de Paris dit que dans ce cas, ce n’est pas haram. Car ce n’est pas par choix, c’est pour respecter la loi. Il faut juste mettre le corps dans un linceul d’abors.

Témoignage d’un croyant

Ali, un musulman vivant à Lyon, raconte : “Mon père est mort l’an dernier. Nous avons dû utiliser un cercueil. Mais nous avons mis un linceul blanc à l’interieur. L’imam nous a dit que c’était ok.”

Les règles peuvent varier

Dans l’école hanafite, le cercueil est makruh (pas préféré), mais pas haram. L’école malékite accepte le cercueil si besoin. Ce n’est donc pas interdit de facon absolu. Les imams conseillent de rester proche des valeurs : simplicité et respect du corps.

Preuves dans les textes

Le Coran ne parle pas de cercueils. Mais il parle du respect du mort. Le hadith “Cassez l’os d’un mort est comme le casser vivant” montre l’importance du soin. Les savants déduisent qu’il faut protéger le corps, même avec un cercueil si besoin.

Les avis dans les mosquées

Imam Youssef, de la mosqué de Bruxelles, dit que l’intention compte. Si on enterre avec respect, même avec un cercueil, Allah voit l’intention. Il dit : “Le cœur est plus important que le bois autour du corps.”

La pratique dans les pays musulmans

En Arabie Saoudite, pas de cercueil. En Égypte, parfois oui. En Indonésie, aussi. Le choix dépend des lois locales, du sol et des pratiques. Ce n’est pas un péché automatique. Cela dépend du contexte.

Que disent les familles ?

Mme Fatima, à Montréal, dit : “Je voulais respecter mon père. Nous avons utilisé un cercueil. Mais c’était simple, sans décoration. L’imam a dit que ce n’était pas haram.”

Le respect avant tout

L’Islam met le respect du défunt en premier. La simplicité est conseillée. Mais quand le cercueil est obligé, il faut garder les valeurs de foi. Pas de luxe. Pas de fierté. Juste la paix.

Conclusion

Les cercueils ne sont pas toujours haram. Cela dépend des conditions, des écoles de pensée et des lois. L’important est de rester humble, et de penser au retour vers Allah.